VOD en bibliothèque, vers quelle offre ?
La VOD conquiert peu à peu du terrain ; avec la contraction en volume du marché du DVD, et l'émergence du Blue ray, la VOD devient un des biais de la consultation de vidéos en ligne ou en différé sur le web.
En France, le paysage se compose de quatre types d'acteurs majeurs :
Le marché de la VOD n'est pas stabilisé et des fusions s'opèrent ; la société cinezime vint d'ailleurs d'être rachetée par locafilm ; son catalogue s'en est trouvé décuplé.
Pour les bibliothèques, l'offre actuelle reste limitée à trois plateformes : celle de CVS, celle d'artevod et celle d'Universciné. La plateforme de CVS permet uniquement la consultation sur place, celle d'artevod offre un catalogue prestigieux et exigeant, celle d'Universciné enfin comporte une contenu trop limité (un peu moins de 400 titres).
Seule la mutualisation des moyens et ou l'émergence d'un agrégateurs de taille importante pour les bibliothèques pourra compenser cela.
En France, le paysage se compose de quatre types d'acteurs majeurs :
- les chaînes de télé créant leur plateforme,
- les agrégateurs de contenu le diffusant (VodeoTV, etc.)
- les société de production développan leur propre site de diffusion,
- les FAI
Le marché de la VOD n'est pas stabilisé et des fusions s'opèrent ; la société cinezime vint d'ailleurs d'être rachetée par locafilm ; son catalogue s'en est trouvé décuplé.
Pour les bibliothèques, l'offre actuelle reste limitée à trois plateformes : celle de CVS, celle d'artevod et celle d'Universciné. La plateforme de CVS permet uniquement la consultation sur place, celle d'artevod offre un catalogue prestigieux et exigeant, celle d'Universciné enfin comporte une contenu trop limité (un peu moins de 400 titres).
Seule la mutualisation des moyens et ou l'émergence d'un agrégateurs de taille importante pour les bibliothèques pourra compenser cela.